Tour d’horizon des volontaires pour tester les vaccins anti Covid

Le quotidien 20 Minutes a recueilli les témoignages de ses lecteurs qui se sont portés volontaires pour tester le vaccin anti Covid proposé par l’Inserm. La plupart veulent participer à la lutte contre ce virus qui empoisonne la vie de la planète depuis bientôt un an.

Publié le
Lecture : 2 min
Tour d’horizon des volontaires pour tester les vaccins anti Covid
Tour d’horizon des volontaires pour tester les vaccins anti Covid | RSE Magazine

L’Inserm cherche 25 000 volontaires pour des essais cliniques d’un vaccin anti-Covid. Sur la plateforme Covireivac.fr les candidatures se sont multipliées avec des profits variés et des quatre coins de la France. Le quotidien 20 Minutes qui par sa gratuité bénéficie d’un lectorat nombreux et très varié à recensé les témoignages de ses lecteurs qui se sont portés volontaires.

« Faute de vaccin ou de traitement, il nous faut apprendre à vivre avec le virus. Mais Ivan, 24 ans, n’a « aucune envie de vivre indéfiniment avec un masque, alors autant faire avancer les choses pour s’en débarrasser le plus tôt possible ». Même vision pragmatique pour Sylvie, qui a décidé de s’inscrire « pour aider la recherche, mais aussi pour ne plus devoir porter de masques, ni respecter les distances sociales. Je veux revenir à notre vie sans barrières sociales, indique la quadragénaire. Je rêve que l’on puisse se retrouver les uns les autres sans psychose ni stress, revivre des soirées de concerts, sans risque. Plus on sera nombreux à être volontaires pour faire avancer la recherche, plus vite nous retrouverons notre liberté, sans contraintes ni obsessions. » « J’ai envie de pouvoir sortir voir mes amis sans contrainte, déjeuner en famille, et prendre à nouveau mes proches dans mes bras, abonde Marta, 31 ans. Je veux tester ce vaccin au plus vite pour que cette pandémie s’arrête. » » compile le journal.

Pour la plupart, ceux qui sont cités, ils sont jeunes et donc pas vraiment concernés par les dangers du Covid. Mais ils veulent participer pour mettre un terme à cette période qui s’éternise et protéger leurs proches plus vulnérables. « J’ai signé en pensant à mes parents, que je n’ai pas embrassés depuis février et que j’ai tellement envie de protéger, confie Alexandra, 40 ans, déjà inscrite sur la plateforme Covireivac. Si ce vaccin fonctionne, c’est grâce à nous, volontaires, qu’on le saura. J’ai eu la chance de ne perdre personne de cher à cause de cette maladie et de conserver mon emploi. Cette chance me fait me sentir redevable », rapporte 20 Minutes.

Suivez-nous sur Google NewsRSE magazine - Soutenez-nous en nous ajoutant à vos favoris Google Actualités.

Laisser un commentaire