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Une délégation de startups françaises à Hong Kong

Sébastien Arnaud
21/04/2023



A l’occasion du salon professionnel InnoEx à Hong Kong, un pavillon français a représenté l’innovation de notre pays et souligné le potentiel d’exportation de nos startups.



Creative Commons - Pixabay
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C’est l’équivalent chinois du CES de Las Vegas. Du 12 au 15 avril dernier InnoEx s’est déroulé à Hong Long et a attiré des sociétés à la pointe de l’innovation. Et comme pour le CES, la France n’a pas à rougir de sa délégation. Rassemblés sous le pavillon « So French So Innovative », nos entreprises ont représenté la France. «Sous les couleurs françaises, trente-cinq entreprises étaient présentes, parmi lesquelles quelques poids lourds implantés localement de longue date (comme Dragages, Veolia, Schneider, STMicroelectronics, ADP, Amundi…) mais aussi une douzaine de start-up dont la participation à ce salon a été prise en charge par les grands groupes tricolores présents. Parmi les start-up, certaines sont arrivées de France après avoir participé au voyage présidentiel en Chine ; d’autres ont été créées par des Français à Hongkong ou dans la Grande Baie (GBA). Cette région englobe une dizaine de villes techno-industrielles du sud de la Chine autour de Shenzhen, la mégapole hypermoderne qui doit sa richesse et son développement aux nouvelles technologies. La Grande Baie a l’ambition de devenir la version chinoise de la Silicon Valley. Environ 300 start-up françaises y sont actuellement actives », rapporte Le Monde.

Lancé en 2014, le pavillon français a pour objectif de placer la France dans l’éventail des choix de nouvelles technologies proposées à ce géant économique qu’est la Chine. D’autant que, bien que sévèrement reprise en main par Pékin, Hong Kong veut garder son positionnement de hub et de porte d’entrée sur le pays, puis sur d’autres horizons dans le pays. « Mais il s’agit aussi d’aider les entreprises françaises à trouver de nouveaux débouchés. « Partout où on est allé [en Chine], ils voulaient signer tout de suite », affirme David Chquiry, le fondateur de Green Tech Innovations (GTI) qui a conçu le « lampadaire intelligent ». Il raconte l’enchaînement de réunions avec les responsables de parcs industriels et de plusieurs municipalités chinoises. A Pékin, où trois sites distincts se sont dit « extrêmement intéressés », et à Shanghaï, au parc industriel de Suzhou, des accords pour le financement de projets pilote ont été passés », ajoute le quotidien français.






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