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La crise humanitaire a bel et bien pris la place du conflit gelé pendant des décennies. « Malgré le cessez-le-feu en vigueur, les conséquences humanitaires de l'escalade des hostilités se font durement sentir dans toute la région. Les habitants manquent de nourriture et de médicaments essentiels et peinent à maintenir le contact avec leurs proches en raison des perturbations des services de télécommunication », s’inquiète le CICR dans un communiqué appelant à l’envoi de dons.
« Des milliers de personnes fuient leur foyer, forcées de laisser derrière elles leurs biens et leurs moyens de subsistance, et ont besoin d'aide. Celles qui restent sur place ont également besoin d'une assistance humanitaire continue, notamment de vivres, de médicaments et d'autres produits de première nécessité. Les civils, qu'ils partent ou qu'ils restent, doivent être protégés et recevoir une assistance humanitaire. Le CICR est sur le terrain pour apporter des secours d'urgence », décrit la Croix Rouge.
L’aide humanitaire est rare dans la zone alors que les accès sont très limités par l’Azerbaïdjan. L’ONG affirme ainsi être la seule organisation humanitaire internationale déployée sur place. Elle donne des nouvelles de son activité et de l’état critique de la situation sur place : « Nous intensifions actuellement notre action dans la région et déployons du personnel spécialisé dans les domaines de la santé, de la médecine légale, de la protection et de la contamination par les armes afin de répondre aux besoins. Voici quelques exemples de nos opérations les plus récentes : Dans la soirée du 25 septembre, une explosion dans un dépôt de carburant a fait des centaines de morts et de blessés dans la région. Les hôpitaux locaux ont vu affluer des centaines de personnes gravement brûlées. Nous avons fourni aux autorités sanitaires des kits de pansement et du matériel pour traiter les brûlures, et avons évacué en ambulance 75 patients grièvement blessés vers Goris pour qu'ils y reçoivent des soins supplémentaires. »
« Des milliers de personnes fuient leur foyer, forcées de laisser derrière elles leurs biens et leurs moyens de subsistance, et ont besoin d'aide. Celles qui restent sur place ont également besoin d'une assistance humanitaire continue, notamment de vivres, de médicaments et d'autres produits de première nécessité. Les civils, qu'ils partent ou qu'ils restent, doivent être protégés et recevoir une assistance humanitaire. Le CICR est sur le terrain pour apporter des secours d'urgence », décrit la Croix Rouge.
L’aide humanitaire est rare dans la zone alors que les accès sont très limités par l’Azerbaïdjan. L’ONG affirme ainsi être la seule organisation humanitaire internationale déployée sur place. Elle donne des nouvelles de son activité et de l’état critique de la situation sur place : « Nous intensifions actuellement notre action dans la région et déployons du personnel spécialisé dans les domaines de la santé, de la médecine légale, de la protection et de la contamination par les armes afin de répondre aux besoins. Voici quelques exemples de nos opérations les plus récentes : Dans la soirée du 25 septembre, une explosion dans un dépôt de carburant a fait des centaines de morts et de blessés dans la région. Les hôpitaux locaux ont vu affluer des centaines de personnes gravement brûlées. Nous avons fourni aux autorités sanitaires des kits de pansement et du matériel pour traiter les brûlures, et avons évacué en ambulance 75 patients grièvement blessés vers Goris pour qu'ils y reçoivent des soins supplémentaires. »
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