Un article en ligne du journal Le Monde explique que « l’association se défend de seulement dénoncer les pollueurs et veut avant tout faire réagir. »
Jacky Bonnemains, le président de la Fondation, assure : « C’est un atlas violent mais réaliste, pédagogique, explique Il s’agit d’informer et d’inciter le public, les riverains, les victimes à s’organiser pour interpeller les responsables. »
L’article ajoute que « cette compilation, réalisée à partir des enquêtes de l’association et des données institutionnelles et publiques, ressemble néanmoins quelque peu à un pot-pourri dont l’odeur donne le tournis : le résultat en devient presque indigeste. »
Cependant, l’article précise que « ce livre a le mérite de rappeler que toute activité humaine génère des risques et des pollutions, dont on prend trop souvent tardivement la pleine mesure. »
Jacky Bonnemains, le président de la Fondation, assure : « C’est un atlas violent mais réaliste, pédagogique, explique Il s’agit d’informer et d’inciter le public, les riverains, les victimes à s’organiser pour interpeller les responsables. »
L’article ajoute que « cette compilation, réalisée à partir des enquêtes de l’association et des données institutionnelles et publiques, ressemble néanmoins quelque peu à un pot-pourri dont l’odeur donne le tournis : le résultat en devient presque indigeste. »
Cependant, l’article précise que « ce livre a le mérite de rappeler que toute activité humaine génère des risques et des pollutions, dont on prend trop souvent tardivement la pleine mesure. »
Le risque que représentent les pesticides
L’article explique que « la conscience des risques que représentent les pesticides pour la santé et l’environnement a beau grandir, leur usage dans les campagnes françaises ne cesse de croître. »
En outre, il ajoute que « bien que nombre de ces substances chimiques soient classées CMR – cancérogènes, mutagènes (toxique pour l’ADN) ou reprotoxiques (nocifs pour la fertilité) –, le secteur agricole en consomme de plus en plus, avec une hausse annuelle de 5,8 % entre 2011 et 2014, qui s’est même accélérée ces dernières années (+ 9,4 % entre 2013 et 2014), selon les derniers chiffres officiels publiés début mars. »
La carte des CMR, dressée par Robin des bois « à partir des données de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques, vient ainsi rappeler les volumes toujours plus importants vendus annuellement dans chaque département français. »
Lire l’intégralité de l’article ici.
En outre, il ajoute que « bien que nombre de ces substances chimiques soient classées CMR – cancérogènes, mutagènes (toxique pour l’ADN) ou reprotoxiques (nocifs pour la fertilité) –, le secteur agricole en consomme de plus en plus, avec une hausse annuelle de 5,8 % entre 2011 et 2014, qui s’est même accélérée ces dernières années (+ 9,4 % entre 2013 et 2014), selon les derniers chiffres officiels publiés début mars. »
La carte des CMR, dressée par Robin des bois « à partir des données de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques, vient ainsi rappeler les volumes toujours plus importants vendus annuellement dans chaque département français. »
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