Imposer le télétravail dans le cadre du plan sobriété, c’est non disent les syndicats de la fonction publique. En réaction aux annonces du gouvernement, les représentants des fonctionnaires mettent l’obligation de travailler chez soi comme ligne jaune à ne pas franchir.
« Céline Verzletti de la CGT craint que le gouvernement utilise une disposition de l'accord sur le télétravail permettant de le rendre obligatoire en cas de situation exceptionnelle. Dans ce cas «tout devient exceptionnel, on ne va pas être d'accord», prévient-elle. «Pour être certains que le télétravail fonctionne, il ne faut pas qu'il devienne une charge pour les agents», avec des dépenses de chauffage élevées pour ceux qui habitent dans des «passoires thermiques», souligne Gaëlle Martinez, déléguée générale de Solidaires Fonction publique » rapporte Le Figaro .
Alors que des obligations de travail ont eu lieu lors du Covid pour cas de force majeure, l’exécutif comptait sur ce précédent pour avoir un levier efficace pour limiter les besoins énergétiques de notre pays sans perdre en activité économique. C’était sans compter sur les syndicats qui se sont insurgés contre le principe, non du télétravail, mais de sa généralisation obligatoire.
« Selon (la porte-parole de Solidaires Fonction publique), l'augmentation de 15% de l'indemnité de télétravail dans la fonction publique, qui passera de 2,50 à 2,88 euro par jour au 1er janvier, est encore entourée de «beaucoup d'inconnues», notamment sur son plafonnement, qui est actuellement de 220 euros par an. Le ministère a entre-temps indiqué que ce plafond serait lui aussi relevé de 15%. Pour Mylène Jacquot de la CFDT, cette augmentation est «la moindre des choses, c'était indispensable et donc c'est bienvenu». «Autrement on transfère des charges, on met moins de chauffage dans les bâtiments mais ce sont les agents qui payent, ce qui n'est pas acceptable» » conclue le quotidien français.
Lire ne intégralité l’article du « Figaro »
« Céline Verzletti de la CGT craint que le gouvernement utilise une disposition de l'accord sur le télétravail permettant de le rendre obligatoire en cas de situation exceptionnelle. Dans ce cas «tout devient exceptionnel, on ne va pas être d'accord», prévient-elle. «Pour être certains que le télétravail fonctionne, il ne faut pas qu'il devienne une charge pour les agents», avec des dépenses de chauffage élevées pour ceux qui habitent dans des «passoires thermiques», souligne Gaëlle Martinez, déléguée générale de Solidaires Fonction publique » rapporte Le Figaro .
Alors que des obligations de travail ont eu lieu lors du Covid pour cas de force majeure, l’exécutif comptait sur ce précédent pour avoir un levier efficace pour limiter les besoins énergétiques de notre pays sans perdre en activité économique. C’était sans compter sur les syndicats qui se sont insurgés contre le principe, non du télétravail, mais de sa généralisation obligatoire.
« Selon (la porte-parole de Solidaires Fonction publique), l'augmentation de 15% de l'indemnité de télétravail dans la fonction publique, qui passera de 2,50 à 2,88 euro par jour au 1er janvier, est encore entourée de «beaucoup d'inconnues», notamment sur son plafonnement, qui est actuellement de 220 euros par an. Le ministère a entre-temps indiqué que ce plafond serait lui aussi relevé de 15%. Pour Mylène Jacquot de la CFDT, cette augmentation est «la moindre des choses, c'était indispensable et donc c'est bienvenu». «Autrement on transfère des charges, on met moins de chauffage dans les bâtiments mais ce sont les agents qui payent, ce qui n'est pas acceptable» » conclue le quotidien français.
Lire ne intégralité l’article du « Figaro »