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Téhéran victime de la pollution de l'air, les habitants restent chez eux

14/12/2015



La ville de Téhéran, la capitale iranienne, est souvent proie à la forte pollution. Aujourd’hui, le taux de particules en suspension est particulièrement élevé.



Source : image libre de droits.
Source : image libre de droits.
La pollution de l'air a atteint un niveau très alarmant à Téhéran, capitale de l’Iran. Aujourd’hui, les autorités ont conseillé aux habitants de la ville de rester chez eux.
 
Un article en ligne du journal Le Parisien explique l’importance de ce niveau de pollution, ainsi que les dangers qu’elle représente pour les habitants.
 

« Néfaste à la santé de tous »

L’article du Parisien explique que « la capitale iranienne était recouverte d'un épais brouillard gris de pollution rendant la visibilité faible. Les montagnes enneigées de la chaîne de l'Alborz qui dominent Téhéran, n'étaient ainsi pas visibles du centre-ville. »

Dans un communiqué, le ministère des Transports et de la circulation assure que « la qualité de l'air est néfaste à la santé de tous. » Le communiqué précise que « les habitants, surtout les plus fragiles, sont encouragés «à ne pas sortir de chez eux sauf en cas d'urgence. »

L’article ajoute que « la journée de lundi est la pire en terme de pollution de l'air depuis le mois de mars. L'index de la qualité de l'air atteignait le niveau rouge, soit 162, voire 180 dans certaines parties de la mégalopole, alors que le niveau normal est de 0 à 50 selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS). »

Le chef de l'Organisation de contrôle de la qualité de l'air, Vahid Hosseini, explique que « les particules en suspension les plus polluantes sont sept fois supérieures à la normale. »

Ainsi, « la pollution est provoquée à 80% par les gaz d'échappement des cinq millions de véhicules circulant quotidiennement dans la ville embouteillée de manière quasi permanente et dont les effets sont amplifiés en hiver », et comme l’explique l’article, « le gouvernement tente de faire baisser le niveau de pollution en fournissant une essence aux émissions moins nocives correspondant aux normes Euro 4 », selon les déclarations de la vice-présidente Masoumeh Ebtekar, chargée de l'environnement.

Lire l’intégralité de l’article du Parisien ici
 






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