« François Hollande avait annoncé début février sa volonté d’élargir le service civique à tout jeune volontaire qui en fera la demande. En bonne élève, Ségolène Royal dégaine la première » annonce le site l’étudiant du Figaro. La ministre de l’Ecologie vient en effet d’annoncer que 15 000 places de services civiques seraient créées dans les deux ans pour le secteur de l’environnement, dont 5 000 immédiatement.
Rappelons que le service civique a été créé en 2010. Il permet à des volontaires de 16 à 25 ans d’effectuer des missions dites d’intérêt général dans des associations, collectivités ou établissements publics. L’indemnité de 573 euros par mois est prise en charge par l’Etat.
Rappelons que le service civique a été créé en 2010. Il permet à des volontaires de 16 à 25 ans d’effectuer des missions dites d’intérêt général dans des associations, collectivités ou établissements publics. L’indemnité de 573 euros par mois est prise en charge par l’Etat.
Les trois grands secteurs seront la transition énergétique, le climat et la préservation de la biodiversité et des paysages. Ces catégories sont, explique le ministère, supposées être les « reflets des priorités du gouvernement. »
Ces missions environnementales seront confiées à l’Agence du service civique, comme tous les autres engagements de ce type. « Pour l’instant, le budget du service civique arrêté pour 2015 (170 millions d’euros) doit permettre d’accueillir 45.000 jeunes. Le chef de l’Etat s’est cependant engagé à dégager les moyens nécessaires à l’essor de ces missions, a indiqué le président de l’Agence du service civique, François Chérèque, après s’être entretenu avec François Hollande » continue le site dédié du Figaro.
Plutôt bien accueillies, cette annonce pourrait poser un problème en termes d’emploi. Le secteur de l’environnement est supposé constituer une filière d’avenir avec des créations de postes. Avec des missions de service civique, le risque est de contiuer à considérer qu’il s’agit d’un secteur sous perfusion de l’Etat et non à fort potentiel économique.
Ces missions environnementales seront confiées à l’Agence du service civique, comme tous les autres engagements de ce type. « Pour l’instant, le budget du service civique arrêté pour 2015 (170 millions d’euros) doit permettre d’accueillir 45.000 jeunes. Le chef de l’Etat s’est cependant engagé à dégager les moyens nécessaires à l’essor de ces missions, a indiqué le président de l’Agence du service civique, François Chérèque, après s’être entretenu avec François Hollande » continue le site dédié du Figaro.
Plutôt bien accueillies, cette annonce pourrait poser un problème en termes d’emploi. Le secteur de l’environnement est supposé constituer une filière d’avenir avec des créations de postes. Avec des missions de service civique, le risque est de contiuer à considérer qu’il s’agit d’un secteur sous perfusion de l’Etat et non à fort potentiel économique.