Un article en ligne des Inrocks explique que « si les causes sont multiples, le rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) publié mardi est formel : la situation empire, particulièrement pour les enfants et les femmes enceintes », ajoutant que « si les causes de décès sont nombreuses, la pollution de l’air demeure la plus grande menace pour la santé. 7 millions de personnes en sont mortes pour la seule année 2012. »
Ainsi, « en première ligne : les aérosols ménagers, l’amiante et la pollution par le plomb. Ces deux derniers éléments ayants causé près d’un million de morts en 2012. »
Ainsi, « en première ligne : les aérosols ménagers, l’amiante et la pollution par le plomb. Ces deux derniers éléments ayants causé près d’un million de morts en 2012. »
Des conclusions cinglantes
Les conclusions du rapport des Nations Unies sont formelles : « plus d’un quart des morts d’enfants de moins 5 ans est provoqué par des altérations artificielles de l’environnement. »
Le directeur, Achim Steiner, assure : « en multipliant les expositions aux produits chimiques, qu’il s’agisse des hommes et des ressources naturelles, nous avons compromis tous nos supports d’existence. »
L’article souligne que « parmi les zones du globe les plus touchées: l’Asie du Sud-Est, la partie occidentale du Pacifique et le sud du Sahel africain. L’Europe n’est pas non plus épargnée par les conséquences mortelles de la pollution. »
Le PNUE a lancé « un appel aux pays membres des Nations unies pour prendre des mesures urgentes. » Toutefois, en l’absence d’une « Organisation mondiale de l’environnement », la position du PNUE rôle est purement consultative. L’article des Inrocks affirme ainsi que « le bilan du rapport a beau être effroyable, aucune mesure contraignante n’en découlera », ajoutant que « si le problème n’est pas pris à bras-le-corps, respirer pourrait pourtant devenir un danger de mort. »
Lire l’intégralité de l’article des Inrocks ici.
Le directeur, Achim Steiner, assure : « en multipliant les expositions aux produits chimiques, qu’il s’agisse des hommes et des ressources naturelles, nous avons compromis tous nos supports d’existence. »
L’article souligne que « parmi les zones du globe les plus touchées: l’Asie du Sud-Est, la partie occidentale du Pacifique et le sud du Sahel africain. L’Europe n’est pas non plus épargnée par les conséquences mortelles de la pollution. »
Le PNUE a lancé « un appel aux pays membres des Nations unies pour prendre des mesures urgentes. » Toutefois, en l’absence d’une « Organisation mondiale de l’environnement », la position du PNUE rôle est purement consultative. L’article des Inrocks affirme ainsi que « le bilan du rapport a beau être effroyable, aucune mesure contraignante n’en découlera », ajoutant que « si le problème n’est pas pris à bras-le-corps, respirer pourrait pourtant devenir un danger de mort. »
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