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Pollution : une commune de l'Aveyron priée de ne plus boire son eau

14/04/2016



L'agence régionale de santé (ARS) a demandé au maire de la ville de Creissels de distribuer des bouteilles car l’eau y serait fortement polluée.



Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Midi Libre explique que « la mairie de Creissels a déconseillé à ses habitants de boire l'eau du robinet et a organisé une distribution d'eau en bouteille. Une pollution présagée avait été repérée sous forme de mousse, dans l'eau du captage. »

L’article ajoute qu’« alertée, l'Agence régionale de santé (ARS), qui a compétence en la matière, est intervenue pour mettre en place les analyses nécessaires et a demandé à ce que la consommation d'eau soit restreinte par mesure de précaution. Les analyses n'ont rien donné d'inquiétant, l'eau a de nouveau été autorisée à la consommation samedi après-midi à 15 h. »
 

Des analyses pour comprendre la nature de cette pollution

L’article explique également qu’une « deuxième série d'analyse a été demandée par la mairie lundi. C'est une nouvelle fois des traces de pollution sous forme de mousse qui auraient été repérées, cette fois, non pas à la source du captage, mais en aval, dans le plan d'eau de Pesquier. »

Par conséquent, « prenant acte de ces nouvelles données, l'ARS a donc demandé à la mairie, lundi, entre 14 h et 15 h, de "procéder à une nouvelle restriction et d'organiser une distribution d'eau en bouteille". »

L’article ajoute que « les analyses doivent arriver ce vendredi. Il faut espérer qu'elles montreront une nouvelle fois qu'il n'y a pas matière à s'affoler. »

Thierry Terral, le maire de Creissels, assure : « On a discuté longuement avec l'ARS et les services de la préfecture cet après-midi. Et il s'agit d'un malentendu. La pollution que nous avons relevée ne l'a pas été à la source du captage, mais en aval. C'était des restes de pollution qui ne pouvaient pas s'échapper du bassin et nous avons jugé intéressant de les envoyer à l'analyse pour savoir exactement de quoi il s'agissait. »

Lire l’intégralité de l’article du Midi Libre ici.
 






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