Un article en ligne du site www.24matins.fr explique qu’« à peu de choses près, la pollution a été l'ennemi du quotidien de la Chine en 2015. Les médias chinois se sont ainsi fait l'écho d'une année passée marquée par 179 jours de pollution, incluant 46 jours de forte pollution. On peut donc dire que le pays a eu du mal à respirer près d'un jour sur deux en 2015. »
Un chiffre alarmant
L’article souligne que « des données émanant du Bureau municipal de la protection environnementale, et qui tendent à confirmer la voix contestataire de la population à ce sujet. »
Le journal Sciences et Avenir confirme « un peu plus ce constat en rappelant que la concentration de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2.5), pourtant nocives pour les poumons en raison de leur caractère particulièrement pénétrant, a été d'une moyenne quotidienne de 80,6 microgrammes par m³ en 2015. »
L’article explique qu’ « en chiffre on ne peut plus alarmant puisqu’il apparaît huit fois supérieur au seuil recommandé par l'OMS (Organisation mondial de la santé), qui est de 10 microgrammes. » Il ajoute que si « on indique de même que sur un an, les chiffres communiqués mardi sont en recul de 6,2% par rapport à l'année précédente, il n'en demeure pas moins qu'ils dépassent de quelque 30% les normes établies par la Chine. Des normes, nous dit-on, connues pour être plus souples que celles de l'OMS. »
Par ailleurs, l’article souligne « qu'en dépit d'une pollution ayant été observée à un rythme quasi-quotidien, ce n'est qu'en décembre dernier que Pékin a décrété pour la première fois l'alerte rouge à la pollution atmosphérique. »
Il ajoute que « celle-ci a notamment conduit à ce que des usines soient fermées et à ce que les véhicules privés soient soumis à une circulation alternée. Un semblable décret aura ensuite été prononcé au sein de la province du Shandong, et Pékin d'avoir connu une nouvelle alerte rouge municipale un peu plus tard dans le mois. »
Le journal Sciences et Avenir confirme « un peu plus ce constat en rappelant que la concentration de particules de 2,5 microns de diamètre (PM 2.5), pourtant nocives pour les poumons en raison de leur caractère particulièrement pénétrant, a été d'une moyenne quotidienne de 80,6 microgrammes par m³ en 2015. »
L’article explique qu’ « en chiffre on ne peut plus alarmant puisqu’il apparaît huit fois supérieur au seuil recommandé par l'OMS (Organisation mondial de la santé), qui est de 10 microgrammes. » Il ajoute que si « on indique de même que sur un an, les chiffres communiqués mardi sont en recul de 6,2% par rapport à l'année précédente, il n'en demeure pas moins qu'ils dépassent de quelque 30% les normes établies par la Chine. Des normes, nous dit-on, connues pour être plus souples que celles de l'OMS. »
Par ailleurs, l’article souligne « qu'en dépit d'une pollution ayant été observée à un rythme quasi-quotidien, ce n'est qu'en décembre dernier que Pékin a décrété pour la première fois l'alerte rouge à la pollution atmosphérique. »
Il ajoute que « celle-ci a notamment conduit à ce que des usines soient fermées et à ce que les véhicules privés soient soumis à une circulation alternée. Un semblable décret aura ensuite été prononcé au sein de la province du Shandong, et Pékin d'avoir connu une nouvelle alerte rouge municipale un peu plus tard dans le mois. »