Le déploiement des infrastructures numériques et l’avènement de la 5G posent de nombreux défis concernant leur impact environnemental. « Face à ces craintes, une politique de maîtrise de ces impacts est en train de prendre forme. La loi anti-gaspillage et pour une économie circulaire (loi Agec) a commencé à cadrer certains aspects comme la lutte contre l'obsolescence programmée des équipements et logiciels. La loi crée par exemple un indice de répétabilité pour certains équipements électriques et électroniques. Mais ce n'est qu'un début. D'autres mesures législatives, réglementaires et incitatives pourraient voir le jour rapidement » explique Actu-Environnement .
Le site spécialisé souligne le réveil politique dans le domaine avec des initiatives pour faire progresser le développement durable du numérique. « Le Gouvernement a ainsi posé les jalons d'une feuille de route interministérielle qui sera précisée d'ici la fin de l'année autour de trois axes : développer la connaissance de l'empreinte environnementale numérique, la réduire et faire du numérique un levier de la transition écologique. Elle s'appuie sur un travail initié en amont par le Conseil national du numérique (Cnnum) et le Haut conseil pour le climat à travers un livre blanc » ajoute le site spécialisé.
Quelques mesures sont déjà en place comme l’examen par la répression des fraudes du marché des pièces détaches et des secondes vies des terminaux numériques. Mais aussi des mesures de soutien des datas center éco responsables.
Pour soutenir le secteur privé un fond de 300 millions d’euros doit avoir pour vocation d’accompagner les startups innovantes dans le domaine. « L'Agence de la transition écologique (Ademe) lancera cet automne deux appels à projets pour soutenir le développement de l'éco-conception des services numériques dans les entreprises » explique Actu-Environnement. Enfin, une loi va être proposée au Sénat en conclusion des travaux de la commission développement durable. La création d’un observatoire de recherche sur les impacts du numérique est envisagé, ainsi que des mesures de lutte contre l’obsolescence programmée.
Le site spécialisé souligne le réveil politique dans le domaine avec des initiatives pour faire progresser le développement durable du numérique. « Le Gouvernement a ainsi posé les jalons d'une feuille de route interministérielle qui sera précisée d'ici la fin de l'année autour de trois axes : développer la connaissance de l'empreinte environnementale numérique, la réduire et faire du numérique un levier de la transition écologique. Elle s'appuie sur un travail initié en amont par le Conseil national du numérique (Cnnum) et le Haut conseil pour le climat à travers un livre blanc » ajoute le site spécialisé.
Quelques mesures sont déjà en place comme l’examen par la répression des fraudes du marché des pièces détaches et des secondes vies des terminaux numériques. Mais aussi des mesures de soutien des datas center éco responsables.
Pour soutenir le secteur privé un fond de 300 millions d’euros doit avoir pour vocation d’accompagner les startups innovantes dans le domaine. « L'Agence de la transition écologique (Ademe) lancera cet automne deux appels à projets pour soutenir le développement de l'éco-conception des services numériques dans les entreprises » explique Actu-Environnement. Enfin, une loi va être proposée au Sénat en conclusion des travaux de la commission développement durable. La création d’un observatoire de recherche sur les impacts du numérique est envisagé, ainsi que des mesures de lutte contre l’obsolescence programmée.