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Netflix cherche à évaluer son impact environnemental

18/03/2021



La plateforme de streaming la plus populaire du monde s’est tourné vers le projet DIMPACT pour évaluer son impact environnemental. Une foi cette étape passée, Netflix a prévu d’en dire plus sur son engagement à ce sujet d’ici le printemps.



Creative Commons - Pixabay
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C’est la principale impasse dans son positionnement face au grand public. Netflix en dit beaucoup sur ses engagements mais peu sur les questions d’impact environnemental. « Regarder Netflix entraîne deux problématiques à grande échelle : l’utilisation majoritaire de la bande passante d’Internet (comme nous avons pu le voir lors du premier confinement en avril 2020), ainsi que la hausse de la consommation d’électricité. Ces deux points sont intimement liés, mais si le premier pouvait facilement se mesurer, le second restait encore mystérieux. À l’inverse de Facebook, Google, Microsoft ou encore Apple, Netflix n’est pas clair quant à son calendrier de réduction de son impact carbone. Selon le géant du streaming, un aperçu détaillé sera révélé au printemps. D’ici là, à l’adresse de toutes ses parties prenantes, Netflix s’est soumis à des mesures avec DIMPACT, un projet développé par des chercheurs de l’Université de Bristol pour révéler l’impact carbone des médias et plateformes de streaming » nous apprend Presse Citron.
 
Mais évaluer la consommation énergétique d’une plateforme de streaming est un casse-tête. A tel point que l’entreprise a pris langue avec un projet spécialisé : DIMPACT. « Le calculateur de DIMPACT a réussi à prendre en compte l’ensemble des particularités de Netflix entraînant un impact énergétique et donc écologique. Premier chiffre : une heure de streaming sur Netflix aurait un impact « d’une centaine de grammes de dioxyde de carbone ». Bien sûr, il faut prendre en compte la provenance de l’électricité pour une mesure au cas par cas. Pour que tout le monde puisse s’y retrouver, les spécialistes anglais ont émis plusieurs comparaisons possibles pour illustrer la consommation électrique globale d’une heure de streaming pour un utilisateur. Elle correspondrait donc à un ventilateur de 75 W fonctionnant pendant 6 heures en Europe, ou à un climatiseur de fenêtre de 1000 W fonctionnant pendant 40 minutes » continue le site de revue de presse, s’appuyant sur un article de Wired.
 
Lire ici en intégralité l’article de Presse Citron cité






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