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Les réflexes anti-pollution : pas de sport et vigilances pour les plus faibles

Sébastien Arnaud
09/12/2016



Les pics de pollutions à répétition de cet hiver ponctuent le quotidien des habitants des grandes villes. Face à un air de mauvaise qualité on peut se sentir démuni pour se protéger, il existe pourtant quelques petites astuces et équipements pour protéger notamment les enfants, femmes enceintes et personnes âgées.



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A part partir de la ville pour rejoindre une campagne où l’air sera meilleur, on se sent facilement démuni face à un air pollué. Alors que les pics de pollutions se multiplient avec les concentrations de particules fines les plus importantes depuis 2010. Les solutions des autorités sur les limitations de vitesses, restrictions en tous genres et circulation alternée ont pour objectif de ne pas empirer les choses mais que faire une fois que la pollution est là ? C’est à cette question que répond en partie un article du quotidien Le Figaro.

 

Tout d’abord il faut savoir que lors des épisodes de pollution de particules fines, contrairement à ce que l’on pourrait croire, le port de masques en papier est inutile puisqu’ils ne filtrent pas assez. Quant aux masques qui sont suffisant pour les bloquer, ils sont très inconfortables, expliquent des professionnels de la santé au quotidien.


Eviter le sport et les efforts, protéger les plus faibles

Du coup, le conseil le plus simple à respecter est de s’appliquer à faire le moins d’effort possible. « En cas d'hyperventilation, on fait entrer plus d'air dans notre organisme et donc plus d'air pollué en ce moment. L'hyperventilation intervient notamment quand on fait du sport, ce qu'il faut éviter à tout prix » explique au Figaro, Bernard Jomier, médecin et adjoint au maire de Paris en charge de la santé.

 

Ce dernier explique par ailleurs, que ce sont les enfants et les personnes âgées qui sont les plus vulnérables et qui donc doivent être le plus ménagés. Chez les premiers les pics de pollution risquent de favoriser les crises d’asthme et des maladies des bronches. Pour les seconds ce sont les accident cardio-vasculaires et les maladies neurologiques qui sont accentuées. 







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