Le constat est sans appel : la température moyenne à la surface du globe est en constante augmentation. Un réchauffement favorisé par l’émission de gaz à effet de serre affaiblissant la couche d’ozone, comme le dioxyde de carbone (CO2). Pour rappel, ce gaz est libéré dans l’atmosphère par divers processus de combustion (productions pétrochimiques, industrielles, émissions automobiles…). Bref, le changement climatique est d’origine humaine.
Depuis la fin du 19ème siècle, la température a globalement progressé d’environ 1,1°C. En France, elle a tout simplement bondi de 2,3°C en l’espace de 180 ans. Et le changement climatique va se poursuivre à court terme puisque, selon le dernier rapport du GIEC, la barre des 1,5°C a de grandes chances d’être dépassée avant 2050. Le réchauffement concernant le 22ème siècle dépendra quant à lui des émissions futures.
Les effets du dérèglement climatique se font d’ores et déjà sentir à travers le globe, avec des conséquences sur les équilibres écologiques et sur nos sociétés. On peut par exemple citer son impact sur les phénomènes météorologiques (canicules plus fréquentes et intenses, augmentation des pluies, sécheresses extrêmes, démultiplication des cyclones tropicaux…).
Autre conséquence : l’élévation du niveau des océans (20 cm entre 1901 et 2019), liée à la fonte irréversible des glaces dans l’antarctique et le recul des glaciers. Ces phénomènes devraient même s’accélérer pour atteindre 1 et 2 m, d’après un scénario du GIEC. L’acidification des océans est aussi un sujet préoccupant. Captant trop de CO2, les océans deviennent acides et mettent en péril les coquillages, récifs coralliens, poissons et autres planctons.
Le changement climatique touche aussi de nombreuses espèces n’ayant pas eu le temps de s’adapter aux nouvelles températures, à la perturbation des saisons ou encore à la multiplication des événements climatiques extrêmes. Ces bouleversements ont déjà conduit à de nombreuses extinctions d’espèces. La biodiversité est donc grandement menacée.
En déséquilibrant l’écosystème naturel, l’Homme se met également en danger. Selon le GIEC, la moitié de la population mondiale est en effet fragilisée par le changement climatique. Ce dernier affecte par exemple les rendements agricoles, la pratique de la pêche, et donc la sécurité alimentaire de centaines de millions de personnes. On peut aussi soulever les risques de pénurie d’eau qui augmentent. Enfin, le changement climatique bouscule les équilibres sociaux, sanitaires et géopolitiques dans diverses régions du monde (conflits liés aux ressources, réfugiés climatiques…).
Il est donc urgent de se mobiliser pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et protéger une planète en surchauffe. Conscientes des enjeux, beaucoup d’entreprises françaises s’organisent pour lutter efficacement contre le changement climatique en baissant drastiquement l’impact carbone de leurs activités.
C’est notamment le cas du groupe La Poste qui, dans le cadre de son plan stratégique 2030, s’est engagé à réduire de 30% ses émissions entre 2013 et 2025. L’année dernière, l’entreprise à mission est allée encore plus loin en actualisant cet objectif à l’horizon 2030 (-42% entre 2020 et 2030). Elle a également étendu la définition d’objectifs 2030 à toute ses activités, et ambitionne d’atteindre le « Net Zéro Emission » d’ici 17 ans.
Afin de tenir ses engagements, le groupe La Poste va tout d’abord multiplier par deux sa flotte de véhicules électriques dans 2 ans. Il compte aussi décarboner le transport moyenne et longue distance pour atteindre 50% des kilomètres parcourus en énergie bas-carbone en 2030. L’entreprise française a investi 600 millions d’euros dans ce programme sobre et durable.
Ce mois de janvier, le Carbon Disclosure Project (CDP), organisation qui publie des données sur l’impact environnemental des plus grandes entreprises, a attribué la notation A au groupe La Poste. « Cette distinction met en lumière la stratégie du groupe La Poste tant dans ses actions en matière de logistique décarbonée que dans sa démarche de neutralité carbone », précise l’entreprise française.
Seules 284 entreprises, sur 20 000 évaluées à travers le monde, figurent cette année dans la liste A du CDP. Pour rappel, La Poste avait déjà décroché cette prestigieuse note en 2022.
« C’est une fierté pour le groupe La Poste et tous les postiers de compter à nouveau parmi les entreprises leaders dans l’action contre le changement climatique. Cette consécration est le résultat d’une politique environnementale débutée il y a deux décennies et ce nouveau score prouve le maintien, à un très haut niveau, des ambitions RSE du groupe La Poste », à indiqué la Président directeur général du groupe La Poste Philippe Wahl.
Depuis la fin du 19ème siècle, la température a globalement progressé d’environ 1,1°C. En France, elle a tout simplement bondi de 2,3°C en l’espace de 180 ans. Et le changement climatique va se poursuivre à court terme puisque, selon le dernier rapport du GIEC, la barre des 1,5°C a de grandes chances d’être dépassée avant 2050. Le réchauffement concernant le 22ème siècle dépendra quant à lui des émissions futures.
Les effets du dérèglement climatique se font d’ores et déjà sentir à travers le globe, avec des conséquences sur les équilibres écologiques et sur nos sociétés. On peut par exemple citer son impact sur les phénomènes météorologiques (canicules plus fréquentes et intenses, augmentation des pluies, sécheresses extrêmes, démultiplication des cyclones tropicaux…).
Autre conséquence : l’élévation du niveau des océans (20 cm entre 1901 et 2019), liée à la fonte irréversible des glaces dans l’antarctique et le recul des glaciers. Ces phénomènes devraient même s’accélérer pour atteindre 1 et 2 m, d’après un scénario du GIEC. L’acidification des océans est aussi un sujet préoccupant. Captant trop de CO2, les océans deviennent acides et mettent en péril les coquillages, récifs coralliens, poissons et autres planctons.
Le changement climatique touche aussi de nombreuses espèces n’ayant pas eu le temps de s’adapter aux nouvelles températures, à la perturbation des saisons ou encore à la multiplication des événements climatiques extrêmes. Ces bouleversements ont déjà conduit à de nombreuses extinctions d’espèces. La biodiversité est donc grandement menacée.
En déséquilibrant l’écosystème naturel, l’Homme se met également en danger. Selon le GIEC, la moitié de la population mondiale est en effet fragilisée par le changement climatique. Ce dernier affecte par exemple les rendements agricoles, la pratique de la pêche, et donc la sécurité alimentaire de centaines de millions de personnes. On peut aussi soulever les risques de pénurie d’eau qui augmentent. Enfin, le changement climatique bouscule les équilibres sociaux, sanitaires et géopolitiques dans diverses régions du monde (conflits liés aux ressources, réfugiés climatiques…).
Il est donc urgent de se mobiliser pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et protéger une planète en surchauffe. Conscientes des enjeux, beaucoup d’entreprises françaises s’organisent pour lutter efficacement contre le changement climatique en baissant drastiquement l’impact carbone de leurs activités.
C’est notamment le cas du groupe La Poste qui, dans le cadre de son plan stratégique 2030, s’est engagé à réduire de 30% ses émissions entre 2013 et 2025. L’année dernière, l’entreprise à mission est allée encore plus loin en actualisant cet objectif à l’horizon 2030 (-42% entre 2020 et 2030). Elle a également étendu la définition d’objectifs 2030 à toute ses activités, et ambitionne d’atteindre le « Net Zéro Emission » d’ici 17 ans.
Afin de tenir ses engagements, le groupe La Poste va tout d’abord multiplier par deux sa flotte de véhicules électriques dans 2 ans. Il compte aussi décarboner le transport moyenne et longue distance pour atteindre 50% des kilomètres parcourus en énergie bas-carbone en 2030. L’entreprise française a investi 600 millions d’euros dans ce programme sobre et durable.
Ce mois de janvier, le Carbon Disclosure Project (CDP), organisation qui publie des données sur l’impact environnemental des plus grandes entreprises, a attribué la notation A au groupe La Poste. « Cette distinction met en lumière la stratégie du groupe La Poste tant dans ses actions en matière de logistique décarbonée que dans sa démarche de neutralité carbone », précise l’entreprise française.
Seules 284 entreprises, sur 20 000 évaluées à travers le monde, figurent cette année dans la liste A du CDP. Pour rappel, La Poste avait déjà décroché cette prestigieuse note en 2022.
« C’est une fierté pour le groupe La Poste et tous les postiers de compter à nouveau parmi les entreprises leaders dans l’action contre le changement climatique. Cette consécration est le résultat d’une politique environnementale débutée il y a deux décennies et ce nouveau score prouve le maintien, à un très haut niveau, des ambitions RSE du groupe La Poste », à indiqué la Président directeur général du groupe La Poste Philippe Wahl.
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