Depuis 2008, l’ADEME lance des appels à projets BCIAT qui s’adressent aux secteurs agricole, industriel et tertiaire. Grâce à des aides financières graduées, cet établissement public veut participer à la transition énergétique.
Les crédits incitatifs de l’ADEME totalisent la somme de 590 millions d’euros. Ils sont répartis en fonction des priorités établies par l’agence : énergie climat (303 M€), déchets (193M€), actions transversales (43M€), recherche (31M€) et Air et bruit (19M€).
Cette année, en raison des difficultés économiques que rencontrent les entreprises, l’ADME propose des avances dès la sélection du projet à hauteur de 40%. Le reste de la somme accordée est répartie en versements étalonnés sur quatre ans (au lieu de cinq les années précédentes.)
Les crédits incitatifs de l’ADEME totalisent la somme de 590 millions d’euros. Ils sont répartis en fonction des priorités établies par l’agence : énergie climat (303 M€), déchets (193M€), actions transversales (43M€), recherche (31M€) et Air et bruit (19M€).
Cette année, en raison des difficultés économiques que rencontrent les entreprises, l’ADME propose des avances dès la sélection du projet à hauteur de 40%. Le reste de la somme accordée est répartie en versements étalonnés sur quatre ans (au lieu de cinq les années précédentes.)
Priorité biomasse
En cinq ans, l’agence a soutenu 109 projets d’énergie biomasse avec l’installation de 1 150 MWth et une production énergétique de 585 000 tonnes d’équivalent pétrole par an (tep/an). D’après les estimations de l’ADEME, ces installations représentent une réduction de 1,5 million de tonnes de CO2 chaque année.
L’agroalimentaire est le premier secteur concerné par ces aides avec 50 projets en cours et une production biomasse de 275 000 tep/an. Le succès de ce développement s’explique en partie par l’installation en milieu rural des entreprises d’agroalimentaire où la disponibilité du gaz naturel est limitée et où les ressources naturelles sont à proximité.
Viennent ensuite le secteur du papier carton avec 100 000 tep/an, la production de matériaux de construction avec 56 000 tep/an et l’industrie du bois (39 000 tep/an).
L’agroalimentaire est le premier secteur concerné par ces aides avec 50 projets en cours et une production biomasse de 275 000 tep/an. Le succès de ce développement s’explique en partie par l’installation en milieu rural des entreprises d’agroalimentaire où la disponibilité du gaz naturel est limitée et où les ressources naturelles sont à proximité.
Viennent ensuite le secteur du papier carton avec 100 000 tep/an, la production de matériaux de construction avec 56 000 tep/an et l’industrie du bois (39 000 tep/an).