La motivation au travail dépasse largement les conditions salariales où la question du bien-être en général. Il est évident que l’impression de participer à une tâche collective pleine de sens est clé. L’argument devrait faire mouche pour les entreprises qui observent de nettes différences de psychologie et d’habitudes dans les générations qui accèdent à des postes de manageurs. « En effet, la nouvelle génération qui arrive sur le marché du travail, et même celle qui est déjà en place depuis une dizaine d’années, est en quête perpétuelle de « sens » dans son travail, et la RSE peut justement leur en apporter. Les collaborateurs ne supportent plus de travailler sans avoir en vue le résultat de leur effort, ni de travailler pour une entreprise qui n’œuvre pas pour l’environnement, l’égalité salariale, la non-discrimination… Il ne s’agit pas bien sûr de lutter sur tous les fronts en même temps, mais au moins d’afficher un certain engagement de l’entreprise, la RSE serait alors ancrée dans l’ADN de la culture de l’entreprise » commente le site spécialisé ChangeTheWork .
L’article se penche notamment sur les pratiques de quelques sociétés emblématiques. Starbucks par exemple assure s’être donné comme objectif « d’améliorer le monde » en commençant par ses collaborateurs. « Une part de leur rémunération se fait en actions : il s’agit d’impliquer encore plus les employés de l’entreprise, notamment en leur donnant une incitation. Aussi, elle leur offre un programme de soins dentaires, une assurance maladie complète… Mais leur engagement ne s’arrête pas là : Starbucks achète à ses fournisseurs un café certifié commerce équitable, met en place des infrastructures écologiques (robinets à bas débit, gobelets et manchons en matière recyclée…). Toutes ces mesures ont partie liée avec la politique RH puisqu’elles participent à la culture de l’entreprise et donc à la fierté qu’en tirent les employés, qui se tiennent loin des scandales qu’ont pu éclabousser par le passé d’autres entreprises » écrit le site. Oubliant au passage de rappeler que cette campagne visait également à rafistoler l’image très détériorée de l’entreprise.
L’article se penche notamment sur les pratiques de quelques sociétés emblématiques. Starbucks par exemple assure s’être donné comme objectif « d’améliorer le monde » en commençant par ses collaborateurs. « Une part de leur rémunération se fait en actions : il s’agit d’impliquer encore plus les employés de l’entreprise, notamment en leur donnant une incitation. Aussi, elle leur offre un programme de soins dentaires, une assurance maladie complète… Mais leur engagement ne s’arrête pas là : Starbucks achète à ses fournisseurs un café certifié commerce équitable, met en place des infrastructures écologiques (robinets à bas débit, gobelets et manchons en matière recyclée…). Toutes ces mesures ont partie liée avec la politique RH puisqu’elles participent à la culture de l’entreprise et donc à la fierté qu’en tirent les employés, qui se tiennent loin des scandales qu’ont pu éclabousser par le passé d’autres entreprises » écrit le site. Oubliant au passage de rappeler que cette campagne visait également à rafistoler l’image très détériorée de l’entreprise.