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Environnement : ces associations qui préfèrent la violence "pour mieux se faire entendre"

11/01/2017



A la fin du mois de décembre dernier, deux incendies ont visé une ferme de la Creuse, décriée par les défenseurs de la cause animale, et un incinérateur d'une vallée alpine soumise à un pic de pollution sans précédent.



Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
Ces « actions radicales qui témoignent d'une opposition de plus en plus frontale entre certains projets industriels et des défenseurs de l'environnement », comme l’explique un article en ligne du journal Le Figaro.

Des actes violents non-revendiqués

Si ces actes récents n'ont pas été revendiqués, « ces établissements, symboles de l'exploitation de la nature et des êtres vivants, sont largement décriés par les protecteurs de l'environnement », assure l’article, qui ajoute : « tout comme le projet de nouvel aéroport à Notre-Dame-des-Landes, vivement critiqué par des opposants depuis plus de 40 ans, ou la pêche et l'élevage intensifs, combattus par des associations comme Sea Sheperd ou L214. »

Pourtant ces organismes usent d’habitude de campagnes de communication pacifiques pour sensibiliser le public. Pour autant précise Le Figaro, « certains justifient ces comportements radicaux par la montée de la colère face à des situations jugées injustes par une partie de la population, comme l'augmentation de la pollution, la maltraitance ou l'exploitation animale ».

Directement visés par ces actions, agriculteurs et industriels considèrent, de leur côté, qu'elles sont « l'aboutissement logique de campagnes pour alimenter la haine».

Quoi qu'il en soit, ces actes à répétition témoignent « d'une opposition de plus en plus frontale entre certains projets industriels et ceux qui affirment lutter pour le respect de la nature et des êtres vivants. »

Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.






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