« L'environnement est désormais bien intégré dans la stratégie d'investissement des entreprises. Depuis le début des années 2000, c'est une enveloppe comprise entre 1,5 milliard et 1,8 milliard d'euros qu'elles y consacrent chaque année », explique un article en ligne du journal Le Figaro.
Ainsi, en 2014, « les établissements industriels employant plus de 20 salariés ont consacré 1,6 milliard d'euros à des investissements ou des études pour protéger l'environnement, selon une note que vient de publier l'Insee. »
L'étude précise que ce montant est « en légère baisse par rapport à 2013 » car cette année-là, « ils avaient dépensé 1,7 milliard d'euros. »
Ainsi, en 2014, « les établissements industriels employant plus de 20 salariés ont consacré 1,6 milliard d'euros à des investissements ou des études pour protéger l'environnement, selon une note que vient de publier l'Insee. »
L'étude précise que ce montant est « en légère baisse par rapport à 2013 » car cette année-là, « ils avaient dépensé 1,7 milliard d'euros. »
Les plus pollueurs investissent le plus
L’article souligne que « ce sont les plus pollueurs qui investissement le plus pour protéger l'environnement. Ainsi, l'énergie, l'industrie agroalimentaire et la chimie contribuent pour près de 60% à ces dépenses: l'énergie (455 millions d'euros), les industries agroalimentaires (255 millions d'euros) et la chimie (250 millions d'euros). »
Il ajoute que « plus du tiers des montants investis visent à protéger la qualité de l'air (296 millions) ou à limiter les émissions de gaz à effet de serre (193 millions).»
Par conséquent, ce sont « les gros établissements, dont les marges de manœuvre financières sont les plus importantes, qui s'impliquent le plus: 80% des entreprises de plus de 500 salariés ont engagé des dépenses antipollution, contre seulement 26% des établissements de moins de 50. »
L’étude de l’Insee rappelle que « pour mémoire, l'Union européenne s'est fixée comme objectif de diminuer de 20% ces émissions (NDLR à effet de serre) d'ici à 2020, par rapport au niveau de 1990. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Il ajoute que « plus du tiers des montants investis visent à protéger la qualité de l'air (296 millions) ou à limiter les émissions de gaz à effet de serre (193 millions).»
Par conséquent, ce sont « les gros établissements, dont les marges de manœuvre financières sont les plus importantes, qui s'impliquent le plus: 80% des entreprises de plus de 500 salariés ont engagé des dépenses antipollution, contre seulement 26% des établissements de moins de 50. »
L’étude de l’Insee rappelle que « pour mémoire, l'Union européenne s'est fixée comme objectif de diminuer de 20% ces émissions (NDLR à effet de serre) d'ici à 2020, par rapport au niveau de 1990. »
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