Six jours pour accorder leurs violons. A compter du lundi 29 avril, des chercheurs des 132 Etats membres de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (IPBES) se réunissent au siège de l’Unesco à Paris. Ils ont pour objectif de se mettre d’accord sur un rapport sur l’ensemble des connaissances scientifiques concernant la dégradation de la biodiversité dans le monde. « Près de 150 études scientifiques y sont regroupées. De quoi brosser un état des lieux complet de la situation. Les scientifiques doivent surtout le résumer pour les décideurs politiques. L'objectif étant de tirer le signal d'alarme comme a pu le faire le GIEC en 1990 avec le climat. Ce rapport trés attendu, et le premier du genre, doit marquer le point de départ de l'action, de l'engagement politique. C'est en tout cas le souhait de la France qui se prépare à jouer un rôle diplomatique important pour convaincre, négocier, engager » nous explique Actu Environnement .
L’idée est de répéter l’expérience des Accords de Paris de 2015, mais cette fois concernant la biodiversité. « Et pour atteindre son objectif, la France va s'appuyer sur plusieurs temps forts. Le rapport de l'IPBES sera le socle scientifique qui permettra d'argumenter et de justifier l'action. Et cette fois, pas de risque de faire face à une forme de septicisme contrairement au climat : les scientifiques sont catégoriques. Nous sommes face à une extinction massive et très rapide des espèces sur l'ensemble du globe, et les activités humaines en sont les responsables par la destruction des habitats, les pollutions, la surexploitation des ressources, la prolifération des espèces envahissantes et le changement climatique » appuie le site spécialisé.
Le rapport doit ainsi mettre en avant l’état des lieux général et proposer des solutions concrètes. L’idée étant de faciliter l’instauration de feuilles de routes pour les pays. Et pourquoi pas un nouvel accord international à faire ratifier par le plus grand nombre de nations possible.
Lire en intégralité l’article cité sur Actu-Environnement.com
L’idée est de répéter l’expérience des Accords de Paris de 2015, mais cette fois concernant la biodiversité. « Et pour atteindre son objectif, la France va s'appuyer sur plusieurs temps forts. Le rapport de l'IPBES sera le socle scientifique qui permettra d'argumenter et de justifier l'action. Et cette fois, pas de risque de faire face à une forme de septicisme contrairement au climat : les scientifiques sont catégoriques. Nous sommes face à une extinction massive et très rapide des espèces sur l'ensemble du globe, et les activités humaines en sont les responsables par la destruction des habitats, les pollutions, la surexploitation des ressources, la prolifération des espèces envahissantes et le changement climatique » appuie le site spécialisé.
Le rapport doit ainsi mettre en avant l’état des lieux général et proposer des solutions concrètes. L’idée étant de faciliter l’instauration de feuilles de routes pour les pays. Et pourquoi pas un nouvel accord international à faire ratifier par le plus grand nombre de nations possible.
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