Le point d’accord était trop facile à trouver pour s’en priver. Au moment où Emmanuel Macron débutait son voyage officiel en Chine, le chef de la diplomatie américaine faisait parvenir aux Nations-Unies la demande officielle de retrait de l’accord de Paris (Lire ici notre article). Deux jours plus tard, mercredi 6 novembre, le président français et son homologue chinois, Xi Jinping, réaffirmait leur soutient et engagement dans cet accord.
Dans ce qu’ils ont souhaité appeler « l’appel de Pékin », les deux chefs d’Etat ont renouvelé leur « ferme soutien » pour ce « processus irréversible » qu’ils décrivent comme une « boussole ». Les faits montrent pourtant que la direction n’est pas « irréversible ». « Signé par l'administration de Barack Obama, l'accord de Paris de décembre 2015 engageait Washington à réduire de 26% à 28% les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis d'ici 2030 par rapport à leurs niveaux de 2005 – sachant que le pays est le premier émetteur de gaz à effet de serre (GES) dans le monde devant la Chine » rappelle France Info.
Mais dans un contexte de guerre commerciale et de tensions diplomatiques fortes entre les deux superpuissances, le président français s’appuie sur la Chine pour donner plus de portée à la critique de la position étatsunienne. Plus offensif encore, Emmanuel Macron a lancé des pics dans le même domaine contre les Etats-Unis lors de son discours devant au Palais de l’Assemblée du Peuple de Pékin. « Se félicitant du fait que la France et la Chine aient "constamment travaillé ensemble" depuis deux ans, le locataire de l'Elysée "déplore le choix de quelques autres". "Mais je les vois comme des choix marginaux" » rapporte la chaine d’info BFMTV.
Dans ce qu’ils ont souhaité appeler « l’appel de Pékin », les deux chefs d’Etat ont renouvelé leur « ferme soutien » pour ce « processus irréversible » qu’ils décrivent comme une « boussole ». Les faits montrent pourtant que la direction n’est pas « irréversible ». « Signé par l'administration de Barack Obama, l'accord de Paris de décembre 2015 engageait Washington à réduire de 26% à 28% les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis d'ici 2030 par rapport à leurs niveaux de 2005 – sachant que le pays est le premier émetteur de gaz à effet de serre (GES) dans le monde devant la Chine » rappelle France Info.
Mais dans un contexte de guerre commerciale et de tensions diplomatiques fortes entre les deux superpuissances, le président français s’appuie sur la Chine pour donner plus de portée à la critique de la position étatsunienne. Plus offensif encore, Emmanuel Macron a lancé des pics dans le même domaine contre les Etats-Unis lors de son discours devant au Palais de l’Assemblée du Peuple de Pékin. « Se félicitant du fait que la France et la Chine aient "constamment travaillé ensemble" depuis deux ans, le locataire de l'Elysée "déplore le choix de quelques autres". "Mais je les vois comme des choix marginaux" » rapporte la chaine d’info BFMTV.