La RSE gagne du terrain sans pour autant s’uniformiser

Sébastien Arnaud
10/03/2017


Le journal marocain La Vie éco revient en détail sur le principe de RSE et son développement dans tous les domaines et dans le monde entier. Malgré les multiples interprétations, l’article montre qu’au fur et à mesure que le concept s’installe, des grands principes deviennent des références.



ILD
En Afrique et plus particulièrement au Maghreb, le Maroc fait figure de pionnier dans les questions de RSE. Malgré les réserves que l’on peut soulever sur les incohérences de telle ou telle partie prenante, il est indéniable que la RSE est un sujet dans ce pays. Dans un long article dédié à ce sujet, le magazine marocain La Vie éco souligne bien cette situation en proposant une réflexion sur les nombreuses interprétations de ce concept et les grandes références largement répandues.
 
« La RSE est une notion admettant de nombreuses définitions et pratiques. La façon dont elle est comprise et mise en œuvre diffère considérablement pour chaque entreprise et pays. En outre, la RSE est un concept très large qui aborde de nombreux sujets tels que les droits de l’homme, la gouvernance d’entreprise, la santé et la sécurité, les effets sur l’environnement, les conditions de travail et la contribution au développement économique et social. Mais quelle que soit la définition, le but de la RSE est principalement de conduire le changement vers le développement durable » commence l’article.
Tout en détaillant les grands principes fondateurs et la raison d’être de la RSE, l’article fait un travail utile de tri entre ce qui est admis ou très largement partagé et ce qui divise plus. « L’intensification des politiques de RSE dans les entreprises ne commença que dans les années 90 à travers le monde. Démarche volontaire intégrant une série de pratiques déclinée au quotidien, la RSE a donné lieu à une multiplication d’outils pour mettre en place une approche RSE. Pour faire le choix le plus adapté, une entreprise doit procéder à une analyse poussée avec un diagnostic de l’existant, afin d’opter pour le ou les types d’instruments RSE à adopter (selon son secteur d’activité, sa taille…). Ensuite, elle devra définir les axes stratégiques prioritaires et un plan d’action RSE. Il s’agira enfin de mettre en place les outils RSE les plus adéquats pour les intégrer dans la feuille de route des managers » continue l’article.

Lire ici en intégralité l’article du magazine La Vie éco