L'Amérique latine pourrait réduire ses émissions de gaz à effet de serre

26/11/2015


Selon une étude publiée aujourd’hui au Chili et qui sera étudiée à la Conférence environnementale de Paris (COP21), l’Amérique latine pourrait réduire ses émissions de gaz à effet de serre.



Source : Pixabay, image libre de droits.
L’Amérique latine pourrait réduire de 20% ses émissions de gaz à effet de serre, selon une étude sortie aujourd’hui au Chili et qui sera prochainement présentée à la Conférence environnementale de Paris (COP21).

Un article en ligne du Figaro explique en quoi l’Amérique latine pourrait modifier sa politique de lutte contre la pollution grâce à son potentiel énergétique.
 

« Le chemin de l’efficacité énergétique »

L’article du Figaro souligne que « l'Amérique latine pourrait, avec son potentiel énergétique, réduire de 20% ses émissions de gaz à effet de serre dans les prochaines années, selon une étude dévoilée aujourd'hui au Chili et qui sera présentée à la Conférence sur le climat COP21 à Paris. »
 

Rodrigo Andrade, directeur de l'ONG "Dialogue énergétique" précise : « Nous pensons qu'il y a un grand effort à fournir en matière énergétique pour tenter de conserver notre activité économique, mais avec une consommation énergétique moindre, et c'est le chemin de l'efficacité énergétique (...) par laquelle nous pouvons réduire de 20% les émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2032. »
 
L’article explique que « l'étude, portant sur le "dilemme énergétique" de la région pour faire face au changement climatique, sera présentée lors de la COP21 à Paris, qui débutera le 30 novembre et au cours de laquelle des dirigeants du monde entier chercheront un accord pour limiter la hausse des températures. »
 
Il ajoute que « selon Rodrigo Andrade, l'Amérique latine est l'une des régions du globe émettant le moins de gaz à effet de serre, mais elle est l'une des plus touchées par les effets du changement climatique. »

Par conséquent, « dans la région, chaque pays devra participer en fonction de ses possibilités et de son économie, avec par exemple des stratégies différentes pour le Brésil et l'Argentine, pays producteurs de pétrole, et pour le Chili, dont l'activité repose sur l'industrie minière, a précisé le directeur de l'ONG. »

Lire l'intégralité de l'article du Figaro ici