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​COP22, les espoirs du WWF

Sébastien Arnaud
03/11/2016



A quelques jours de l’ouverture de la COP22 au Maroc, l’ONG WWF, poids lourds des discussions environnementale, publie un texte qui liste ses espoirs et conseils pour que la conférence internationale permettent d’agir sur le climat.



​COP22, les espoirs du WWF
La COP22 est l’ultime espoir d’agir sur le réchauffement climatique. C’est en substance ce qu’avance le WWF dans un communiqué à quelques jours de l’ouverture de la conférence internationale.
 
Pour les militants, il y a deux défis majeurs à relever : « trouver les moyens nécessaires et définir le fonctionnement international pour honorer les engagements pris à Paris lors de la COP21. L'Accord de Paris constitue maintenant la feuille de route mondiale en matière de lutte contre le changement climatique. »
 
« La COP22 doit clarifier les règles d'engagement de l'Accord de Paris, mettre l'ensemble des acteurs, États, entreprises, villes, et tous les acteurs concernés, face à leurs responsabilités pour que leurs engagements soient de plus en plus ambitieux. Nous devrons quitter cette nouvelle session de négociations après avoir défini un cadre plus solide tout en sachant que nous sommes déjà en mesure de créer le monde que nous voulons » insiste le directeur du programme climat de l’ONG, Manuel Pulgar-Vidal.
 
Pour les militants de l’association, il faut mettre l’accent sur les plans de soutien financiers et technologies de l’Afrique qui subit les conséquences du réchauffement en ayant pourtant été le continent qui émet le moins d’émissions de carbone. 

Les trois axes principaux

Pour terminer, le WWF invite les négociateurs de la COP22 à s’appesantir sur trois axes principaux. D’abord, « Il est nécessaire de clarifier le fonctionnement et la manière permettant aux pays de remplir voire d'améliorer leurs contributions pour parvenir à l'objectif défini dans l'Accord en termes de transparence par exemple. » Ensuite, «  Souligner le rôle de la collaboration entre acteurs étatiques et non-étatiques. De nombreux acteurs non-étatiques (villes, entreprises, société civile) mettent déjà en place des actions. Cela doit inciter les pays à prendre, eux-aussi, des actions solides et ambitieuses dès maintenant et avant 2020. » Et enfin, « Rappeler l'importance du rendez-vous de 2018 et la nécessité de revoir à la hausse les engagements des pays avant cette date. »






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