Une aide d’origine locale à destination internationale. Signe de l’intérêt et des préoccupations de tous pour la situation en Ukraine, la région Centre-Val de Loire a annoncé son engagement. « François Bonneau, Président de la Région Centre-Val de Loire, en accord avec tous les groupes politiques du Conseil régional, proposera lors de la prochaine Commission permanente une première aide humanitaire de 100 000euros qui viendra alimenter un fonds de soutien des Régions qui sera géré avec le Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères » avance le communiqué de la collectivité.
Grâce à un partenariat avec la Croix Rouge, la région va solliciter les entreprises et les personnes pour contribuer à l’effort collectif. L’argent collecté servira ensuite à « soutenir les actions du CICR et de la Croix-Rouge ukrainienne dans la mesure où la situation en matière de sécurité le permet, - Aider les Sociétés nationales des pays voisins, en lien avec la Fédération Internationale de la Croix-Rouge, qui accueillent et aident les réfugiés qui quittent l'Ukraine » mais aussi, continue le texte, à « développer des actions spécifiques en fonction de l'évolution des besoins sur le terrain. »
Par ailleurs, 200 000 euros de subventions sont annoncée pour aider les villes et associations dans leur accueil des réfugiés. « Le Président de la Région Centre-Val de Loire, représentera les Régions à la réunion organisée par le Ministère de l'Intérieur avec les associations des collectivités locales sur l'accueil des réfugiés ce vendredi 4 mars midi. Elle met en place la Gratuité des Transports Régionaux REMI pour les réfugiés en lien avec l'annonce de la SNCF. Elle mobilisera ses Espaces Régionaux dans les départements pour une collecte de dons pour l'accueil des réfugiés sur le territoire régional » lit-on plus loin. Étant donné que la plupart des aides sont gérées par l’État, la région souligne
Mardi 6 avril les premières vaccinations ont eu lieu au stade de France. L’ouverture exceptionnelle d’un centre de vaccination est le fruit de la collaboration entre les collectivités locales les administrations administratives et sanitaires. La Brigade de sapeurs-pompiers et la Croix rouge ont également participé et c’est cette dernière qui a donné des détails sur le projet par communiqué : « Depuis le début de la campagne de vaccination, 1,4 million de Franciliens ont reçu au moins une dose de vaccin contre la Covid-19 (400 000 ont reçu deux doses). En Seine-Saint-Denis, 150 000 personnes ont bénéficié d'au moins une injection, dont 47 745 ont également eu une seconde injection. Avec 158 centres de vaccination ouverts à travers la région Île-de-France et un million de doses des vaccins Pfizer et Moderna prévus en avril, la campagne de vaccination poursuit sa montée en puissance. L'installation d'un très grand centre au Stade de France s'inscrit dans un mouvement d'amplification de la stratégie vaccinale. »
L’objectif annoncé était de 10 000 personnes vaccinées là-bas la première semaine. « Il représente l'un des plus grands centres de vaccination de France. Il a aussi la particularité d'avoir une plateforme téléphonique dédiée sur site pour réduire les inégalités d'accès à la prise de rendez-vous liées à la fracture numérique. Le centre du Stade de France doit être complémentaire des centres de vaccination existants qui poursuivent leur activité au fur et à mesure de l'élargissement des publics éligibles. En Seine-Saint-Denis, 24 centres sont déjà opérationnels grâce à la mobilisation conjointe des collectivités et des autorités sanitaires et préfectorales. S'y ajoutent un centre de la CPAM dédié aux publics les plus précaires et un bus de la vaccination du Département qui sillonne le territoire, aussi très actifs depuis plusieurs semaines » appuie la Croix Rouge.