RSE Magazine
 
RSE Magazine
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager

Les reportages de guerre sont nécessaires à la défense des droits de l’homme

13/10/2022



En réitérant son partenariat avec le Prix Bayeux Calvados des correspondants de guerre, Amnesty International souligne le rôle de la presse pour documenter et observer les crimes des masses ou les atteintes faites aux droits de l’homme.



Creative Commons - Pixabay
Creative Commons - Pixabay

Une ONG de défense des droits de l’homme partenaire du principal festival français du reportage de guerre. Au-delà de l’aspect organisationnel, c’est bien un message qu’Amnestu International veut faire passer en s’associant au prix Bayeux Calvados des correspondants de guerre. « Pour la huitième année consécutive, Amnesty international est partenaire du Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre, qui se déroule du 3 au 9 octobre 2022 à Bayeux, et est cette année largement consacré au conflit en Ukraine. Ces rencontres sont un rendez-vous incontournable pour les journalistes (radio, télévision, photographie, presse écrite) qui couvrent l'actualité internationale et pour toutes celles et ceux qui alertent sur les graves violations des droits humains partout dans le monde » explique l’ONG.

Amnesty va notamment participer à des conférences dédiées à l’information sur des lieux de guerre, et donc sur les questions sensibles des crimes contre l’humanité. « Dans les zones de conflits, les journalistes et nos équipes de recherche informent, collectent des preuves et établissent des faits. La technologie favorise l'information en temps réel et permet l'analyse des événements, y compris dans des zones peu accessibles. Mais quelles sont les modalités et les temporalités des enquêtes ? Comment peuvent-elles soutenir le travail de la justice ? Cette rencontre, au-delà de l'exemple de la guerre en Ukraine, exposera et explorera ces questions. Cette table ronde organisée par Amnesty International se déroulera en présence de Donatella Rovera (experte des situations de crise et chercheuse pour Amnesty International, notamment en Ukraine), Jeanne Sulzer (responsable Justice internationale chez Amnesty International) et Cécile Allegra (journaliste et réalisatrice, lauréate du prix Albert-Londres 2015). Elle sera animée par Virginie Roels, rédactrice en chef de La Chronique, notre magazine d'enquêtes et de reportages » explique le texte.

Presse et droits de l’homme sont particulièrement liés comme on le voit actuellement en Ukraine. Les journalistes permettent de signaler des situations sensibles, tandis que les ONG spécialisées ont une expérience essentielle pour documenter et archiver des éléments de preuve.







Nouveau commentaire :
Facebook Twitter