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Etre un bon patron c’est aussi savoir engager son entreprise

10/03/2017



Si la première tâche d’un dirigeant c’est de diriger son entreprise vers des objectifs de résultats, sa capacité à engager des démarches plus personnelles ou responsables est de plus en plus attendue. Puisque la RSE est devenue une obligation, c’est à lui qu’il appartient d’en faire un atout et non un poids.



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Comment évaluer son patron ? Sa capacité à mener l’entreprise vers la réussite et donc lui permettre de perdurer voire même de croitre, évidemment. Mais pas seulement, montre un article du journal Les Echos . En s’appuyant sur l’ouvrage « Dirgeants : le défi de l’engagement » le quotidien économique démontre une fois de plus que l’engagement dans la société de l’entreprise est une nouvelle exigence communément admise. « Le dirigeant doit dépasser son rôle premier. Au-delà de ses responsabilités juridiques, financières ou encore managériales, il doit faire siennes de nouvelles formes d’engagement, comme « être capable d’exercer un réel leadership sur des domaines ne concernant pas seulement son entreprise », estiment Raphaëlle Laubie et Philippe Wattier, les auteurs du livre « Dirigeants : le défi de l’engagement » publié aux éditions L’Archipel » explique l’article.

« Le nouveau dirigeant est bien plus en mission qu’en contrat, explique Éric Dodin un contributeur de l’ouvrage cité par Les Echos. Il doit travailler sur sa nature profonde, sa confiance et son estime de soi. C’est ce travail qui lui permet de prendre de la hauteur, de ne plus être le sujet de l’action mais un observateur qui voit plus loin et plus haut ».

La conséquence directe de cette situation est le rapport à la RSE qui n’est plus seulement l’affaire de certains collaborateurs missionnés en ce sens, mais bien le fruit d’une impulsion du patron. Devenue une obligation, elle peut aussi être insufflée comme part intégrante de l’ADN de l’entreprise si elle est encouragée par un leadership engagé. Ce n’est qu’au plus haut de la hiérarchie que la décision peut être prise d’appréhender la responsabilité sociale comme une mission et non un fardeau.

Lire ici en intégralité l’article sur le site du journal Les Echos






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