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Le plan de la Préfecture de Paris contre les inondations

01/02/2016



Par communiqué la Préfecture de Paris et d’Île-de-France fait le point sur son dispositif anti pollution. Le comité stratégique dédié, mis en place en 2014, annonce qu’un teste grandeur nature sera lancé début mars.



Pixabay photo libre de droit
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Au lendemain d’une catastrophe naturelle ou de conditions climatiques particulières, les victimes, sinistrés et observateurs s’interrogent irrémédiablement sur ce qui aurait pu être prévu, évité ou limité. C’est pour éviter d’être montré du doigt et prendre ses responsabilités que la Préfecture de Paris et d’Île-de-France a mis en place en 2014 le comité stratégique Inondation.
 
En réunion le 25 janvier dernier, le troisième comité, qui est co-présidé par les préfets de Paris et d’Île-de-France, a voulu souligner « le travail commun réalisé par les services de l'État et les acteurs du territoire pour apporter une réponse concrète et efficace aux risques d'inondations en Île-de-France ».

Exercice grandeur nature

Pour relever les défis de sécurité, de réduction des coûts et de réduction de retour à la normale, comme l’explique le communiqué de la préfecture de Paris, le comité a en particulier décidé de lancer un exercice grandeur nature.
« L'exercice EU SEQUANA 2016, organisé à compter du 7 mars prochain par la Préfecture de Police de Paris, constituera une occasion unique de tester la préparation de l'ensemble des acteurs à une crue de grande ampleur en Ile-de-France mais également de renforcer la culture du risque des franciliens, qui demeurent aujourd'hui insuffisamment sensibilisés au risque inondation » lit-on dans le communiqué.

Au niveau du bassin de la Seine, ce travail de prévention et de préparation prend une dimension toute particulière avec la question du réchauffement climatique. « Le préfet de région et le préfet de police ont tenu à souligner l'importance de cette stratégie afin de réduire les conséquences des inondations sur la vie et la santé humaine, l'environnement, le patrimoine culturel et l'activité économique : sans ces mesures, les effets d'une crue majeure compte tenu de l'interdépendance des réseaux de communications, de distribution, d'énergie et de transport, seraient supérieurs à ceux de 1910 » explique le texte.
 






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