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Un article en ligne du journal Les Echos explique qu’« un générateur de vapeur de 400 tonnes du réacteur Paluel 2 est tombé de sa hauteur lors d’une opération de maintenance. »
L’article des Echos apporte plus de précisions sur la catastrophe survenue jeudi à 13h : « un générateur de vapeur est tombé de toute sa hauteur dans le bâtiment réacteur de Paluel 2, lors d’une opération de maintenance visant à son remplacement. »
EDF a précisé sur le site internet de la centrale : la « pièce de 22 mètres de haut a basculé sur la dalle en béton du bâtiment réacteur », ajoutant que « trois personnes choquées suite à l’événement ont été prises en charge par les équipes médicales de la centrale. L’une d’entre elle fait l’objet d’examens complémentaires. »
En outre, « le réacteur de Paluel 2 est à l’arrêt pour maintenance depuis mai 2015 -et donc déchargé de son combustible-, dans le cadre de sa troisième visite décennale, qui doit lui permettre une exploitation pendant dix années supplémentaires. »
Mais comme le souligne l’article des Echos, « Paluel 2 est surtout la première tranche des réacteurs de 1300 mégawatts (MW) à mener cette troisième visite décennale, inaugurant ainsi le programme de ‘Grand carénage’ d’EDF, évalué à 50 milliards d’euros d’ici 2025. »
EDF indiquait ainsi en mai 2015 que « sur les 106 modifications programmées, 60 seront réalisées pour la première fois sur le parc nucléaire français. »
L’article des Echos apporte plus de précisions sur la catastrophe survenue jeudi à 13h : « un générateur de vapeur est tombé de toute sa hauteur dans le bâtiment réacteur de Paluel 2, lors d’une opération de maintenance visant à son remplacement. »
EDF a précisé sur le site internet de la centrale : la « pièce de 22 mètres de haut a basculé sur la dalle en béton du bâtiment réacteur », ajoutant que « trois personnes choquées suite à l’événement ont été prises en charge par les équipes médicales de la centrale. L’une d’entre elle fait l’objet d’examens complémentaires. »
En outre, « le réacteur de Paluel 2 est à l’arrêt pour maintenance depuis mai 2015 -et donc déchargé de son combustible-, dans le cadre de sa troisième visite décennale, qui doit lui permettre une exploitation pendant dix années supplémentaires. »
Mais comme le souligne l’article des Echos, « Paluel 2 est surtout la première tranche des réacteurs de 1300 mégawatts (MW) à mener cette troisième visite décennale, inaugurant ainsi le programme de ‘Grand carénage’ d’EDF, évalué à 50 milliards d’euros d’ici 2025. »
EDF indiquait ainsi en mai 2015 que « sur les 106 modifications programmées, 60 seront réalisées pour la première fois sur le parc nucléaire français. »
Le bâtiment réacteur endommagé
Rapidement après l’incident, EDF a tenu à préciser que « l’événement n’a aucun impact, ni sur la sûreté des installations, ni sur l’environnement. »
Toutefois, « selon un élu du personnel, le générateur de vapeur qui a basculé pèse 400 tonnes et a, selon de premiers témoignages, fortement endommagé le béton du bâtiment réacteur. L’incident aurait été causé par les engins de levage (pont roulant ou palonnier) du générateur de vapeur, indique-t-il, cette cause n’étant toutefois pas confirmée à ce stade par EDF. »
L’article des Echos rappelle que « cet accident n’est pas le premier sur le site de Paluel. Début juillet, un incendie s’était déclaré dans la salle des machines de Paluel 2, entraînant déjà des dégâts sur la partie non nucléaire de l’installation et provoquant de premiers retards sur le chantier. »
Lire l'intégralité de l'article des Echos ici.
Toutefois, « selon un élu du personnel, le générateur de vapeur qui a basculé pèse 400 tonnes et a, selon de premiers témoignages, fortement endommagé le béton du bâtiment réacteur. L’incident aurait été causé par les engins de levage (pont roulant ou palonnier) du générateur de vapeur, indique-t-il, cette cause n’étant toutefois pas confirmée à ce stade par EDF. »
L’article des Echos rappelle que « cet accident n’est pas le premier sur le site de Paluel. Début juillet, un incendie s’était déclaré dans la salle des machines de Paluel 2, entraînant déjà des dégâts sur la partie non nucléaire de l’installation et provoquant de premiers retards sur le chantier. »
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