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​Le label EcoJardin, référence de bonne gestion des espaces verts en ville

05/12/2014



Fin novembre, le label EcoJardin a été remis aux villes qui ont mis en place des politiques de gestions écologiques des espaces verts. Lancé en 2012, par trois acteurs aux fonctions et statuts divers, cette reconnaissance des politiques urbaines écologiques commence à faire référence.



« Vendredi 28 novembre, 47 espaces verts répartis dans la France entière se sont vu décerner le label national EcoJardin, référence de gestion écologique des espaces verts. Depuis 2012, 221 sites ont obtenu la labellisation répartis sur 17 régions métropolitaines. Une présentation de chacun de ces sites est disponible sur www.label-ecojardin.fr »  Naturparif, l’un des animateur du label, par communiqué.

Lancé en 2012, ce label commence à s’installer comme une référence dans l’appréciation des politiques écologiques des municipalités. Plus largement, pour Naturparif cette récompense  « valorise le travail des jardiniers gestionnaires des espaces verts et sensibilise les usagers aux problématiques du développement durable ainsi qu'aux pratiques écologiques des espaces verts. »

Trois acteurs derrière le label

« L'organisation du label national EcoJardin repose sur une gouvernance associant trois parties indépendantes entre elles : Plante & Cité, plateforme nationale d'études et d'expérimentations sur les espaces verts et le paysage, propriétaire du label et qui en établit le référentiel ; Natureparif, animateur de la procédure d'attribution qui s'appuie sur un comité de labellisation réunissant toutes les parties prenantes ; et des organismes indépendants chargés de l'audit des sites présentés » détaille le communiqué.

C’est un succès pour ces trois acteurs. Ils ont réussi en à peine trois années à donner suffisamment de visibilité au label pour qu’il encourage les municipalités à mettre en place des bonnes pratiques et à communiquer. Ainsi, « le nombre de sites labellisés devrait connaitre une forte croissance dans les prochaines années à mesure que pour respecter les nouvelles contraintes législatives sur l'arrêt des pesticides les collectivités utiliseront le label comme vecteur de changement de leurs pratiques et les entreprises prestataires le proposeront comme outil de contrôle de la qualité de leur travail » affirme le secrétaire général de Plante & Cité.
 






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