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Scandale à la pollution : Suzuki également visée

Sébastien Arnaud
18/05/2016



Pointé du doigt pour cause de tricherie à la pollution, le constructeur automobile japonais Suzuki a avoué certaines irrégularités.



Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du site de TF1 explique qu’après Mitsubishi et Nissan, c’est Suzuki « qui a été suspecté d’avoir menti sur la pollution de ses voitures, avant d’avouer que "des irrégularités" et de plonger en bourse. »

L’article précise que « le ministère des transports japonais a révélé le résultat d’une enquête sur le constructeur automobile Suzuki, qui aurait triché sur la consommation de ses voitures, concernant environ 2,1 millions de véhicules via 16 modèles vendus dans l’archipel depuis 2010, incluant les Alto, Wagon R, Hustler, Spacia, Every, Carry, Jimny, Solio, Ignis, Baleno, SX4, Swift et Escudo », ajoutant que « l'action avait en conséquence chuté de près de 9,4% à la Bourse de Tokyo, soit 57 millions d'euros partis en fumée en 1 jour. »
 

Aucune tricherie trouvée

A l’image de Volkswagen et de Mitsubishi, l’aveu « a été immédiat ». Suzuki avoue dans un communiqué que « des irrégularités ont été trouvées dans les émissions et de consommations des voitures entre les normes du ministère et les tests effectués par Suzuki. »

Toutefois, le constructeur assure qu’ « aucune tricherie, comme une manipulation des données de consommation, n’a été trouvée. »

Suzuki tente ainsi « d’expliquer l’écart entre ses données et celles relevés par le gouvernement par le fait que son centre interne de Sagara (Japon) se trouve en haut d’une colline près de la mer, et que l’allégement conjugué à la réduction de la résistance au roulement entraînerait des voitures davantage affectées par le vent, influant potentiellement sur les résultats. »

Cependant, « Suzuki affirme qu’une correction de ces paramètres n’aurait pas donné des écarts supérieurs à ceux autorisés. »

Lire l’intégralité de l’article de TF1 ici.
 

 






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