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RSE : les nouveaux défis des entreprises à l'approche de la COP21

Sébastien Arnaud
10/11/2015



Les entreprises connaissent un véritable changement radical en matière managériale. En effet, on assiste de plus en plus à l’émergence d’une RSE omniprésence, à la veille de la Conférence environnementale sur le climat (COP21) à Paris.



Source : PIxabay, image libre de droits.
Source : PIxabay, image libre de droits.
L’environnement interne et externe des entreprises ont fortement évolué, et la Responsabilité Sociale des Entreprises occupe une place de plus en plus importance au sein des directions.

Un article en ligne du journal Les Echos souligne la place forte de la RSE au sein des entreprises, à l’approche de la COP21.
 

Les attentes suscitées par la COP21

L’article des Echos souligne que « lorsqu’on assista à l’émergence de la RSE, nombre de dirigeants d’entreprises étaient portés à croire que la RSE constituait un dossier de gestion, autant dire un fardeau, comme un autre, qui viendrait s’ajouter aux autres. »

Ainsi, « durant de longues années, on avait eu droit à un discours lissé et standardisé savamment orchestré dans lequel on parlait d’engagement volontaire et sincère, de contrainte versus opportunité, d’innovation et de création de valeur, de RSE intégrée à la stratégie, voire de RSE inscrite dans les gènes de l’entreprise. »

Par conséquent, la RSE a mis un certain temps à occuper une place de choix au sein des entreprises, « nécessitant une refondation des fondamentaux de la gestion d’entreprise. » En effet, « sous les coups de butoir des ONG et des lanceurs d’alerte, la communication avait lentement commencé à se fissurer. Désormais avec la crise écologique et l’urgence climatique, elle n’est pas loin de s’effondrer. »

De nos jours, la COP 21 joue un rôle important dans l’omniprésence de la RSE au sein des entreprises. En effet, elle « représente pour les entreprises une opportunité historique bien comprise – même s’il faut raison garder, car on n’est pas dupe de la sincérité de l’engagement de certaines d’entre-elles – eu égard aux attentes fortes qu’elle suscite. »

Car, comme l’explique l’article des Echos, « l’engagement en faveur de la lutte contre les changements climatiques des principales organisations qu’elles soient politiques, économiques, ou religieuses, des 195 États membres de l’ONU, du secteur privé, en particulier des multinationales, tend à démontrer qu’au-delà des clivages habituels, de la concurrence effrénée, des désirs hégémoniques, et des rivalités interculturelles, un consensus est né qu’aucun prévisionniste ou futurologue n’aurait pu imaginer il y a quelques années encore. »

Lire l’intégralité de l’article des Echos ici






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