Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne de la Tribune de Genève explique que ce lundi vers 17h10, « les hommes du Service d'incendie et de secours (SIS) sont appelés sur le Rhône, à la hauteur du chemin du Moulin-des-Frères, à Vernier, pour endiguer une pollution par des hydrocarbures. »
L’article ajoute que « deux bateaux du SIS ainsi que deux véhicules avec les remorques barrages et 11 hommes sont mobilisés. Un bateau de la police de la navigation est également présent sur les lieux. »
L’article ajoute que « deux bateaux du SIS ainsi que deux véhicules avec les remorques barrages et 11 hommes sont mobilisés. Un bateau de la police de la navigation est également présent sur les lieux. »
Une nappe d'hydrocarbures de 300 mètres de long
Le lieutenant Frédéric Jacques du SIS, explique : « Lors de notre première reconnaissance au pont Butin, nous avons vu une nappe d'une longueur de 300 mètres pour environ 20 mètres de large. Elle s'est ensuite séparée en plusieurs taches, rendant notre travail plus difficile. »
La Tribune de Genève ajoute que « pour contenir la pollution, les pompiers ont déployé un barrage de 350 mètres. »
L’officier précise : « L'objectif est de retenir un maximum d'hydrocarbures qui se trouve en surface du Rhône. Puis nous procéderons à une récupération à l'aide de boudins absorbants. »
Selon l’article, « la pollution proviendrait d'un canal situé sous le pont de Saint-Georges. L'opération devrait durer jusqu'à au moins 21h. »
Lire l’intégralité de l’article de la Tribune de Genève ici.
La Tribune de Genève ajoute que « pour contenir la pollution, les pompiers ont déployé un barrage de 350 mètres. »
L’officier précise : « L'objectif est de retenir un maximum d'hydrocarbures qui se trouve en surface du Rhône. Puis nous procéderons à une récupération à l'aide de boudins absorbants. »
Selon l’article, « la pollution proviendrait d'un canal situé sous le pont de Saint-Georges. L'opération devrait durer jusqu'à au moins 21h. »
Lire l’intégralité de l’article de la Tribune de Genève ici.
Contacter la rédaction
