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Cop 21 : le secteur du textile s'engage

Sébastien Arnaud
08/12/2015



La Conférence environnementale de Paris (COP21) se termine le 11 décembre. En attendant la fin des négociations, Laurent Fabius, le patron de la COP 21 demande «une première vision d’ensemble» du texte final dès mercredi.



Source : Pixabay, image libre de droits.
Source : Pixabay, image libre de droits.
L'accord final de la COP21 doit être transmis le 11 décembre « afin de laisser un peu de temps pour traiter les questions juridiques et faire les traductions. »

Un article en ligne du journal Le Parisien explique les enjeux de ces négociations finales.
 

L’engagement du textile

L’article du Parisien explique que « le comité de Paris est une invention de Laurent Fabius. Depuis le début de la semaine, il se réunit au moins une fois par jour afin de faire le point sur l’avancée des négociations. »

Ce comité est « ouvert à tous les délégués et retransmis en direct. Les habitués de ces conférences climatiques s'étonnent de voir aussi peu de coups de gueule de la part des délégués. »

Les négociations de ce début de semaine se sont tournées vers le textile. Comme l’explique Le Parisien, « nos jeans, chandail et sous-vêtements polluent énormément : ‘L'industrie du textile et de l'habillement se situe au deuxième rang des activités économiques mondiales ayant le plus fort impact sur l'environnement, après l'industrie du pétrole, selon (l'ONG) Carbon Trust 2011’ », a rappelé l'association organisatrice, Universal Love.

Par conséquent, « L'Union des industries textiles (UIT) et la Fédération de la maille et de la lingerie ont signé mardi une ‘Charte d'engagement de la mode pour le climat’, parrainée par la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal, à l'occasion de la COP21. Les signataires s'engagent notamment à ‘concevoir autant que possible des vêtements faits pour durer et pour renaître’ et ‘utiliser au maximum des matières premières locales faiblement consommatrices d'eau et de pesticides’ ».

Il s’agit donc d’une charte « peu contraignante. La véritable crainte des marques est vraisemblablement le boycott de la part des consommateurs, d'où ces promesses a minima. »

Lire l'intégralité de l'article du Parisien ici
 
 






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