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Climat : Anne Hidalgo accueille des maires du monde entier à Paris

19/10/2017



Du 22 au 24 octobre, Anne Hidalgo accueillera à Paris plus de 40 Maires du monde entier, le Président du CIO et des dirigeants de grandes entreprises, pour un travail collectif dédié à la lutte contre la pollution de l'air. Cet événement est organisé avec Bloomberg Philanthropies, l'Institut Aspen et le magazine The Atlantic.



Source : PIxabay, image libre de droits
Source : PIxabay, image libre de droits
Le C40, présidé par Anne Hidalgo, fédère 91 métropoles du monde entier qui se sont engagées à lutter ensemble contre le dérèglement climatique. Elles représentent plus de 650 millions d'habitants et 25% du PIB mondial.

Ces villes se réuniront du dimanche 22 au mardi 24 octobre à Paris, autour d'Anne Hidalgo et Michaël Bloomberg, pour une série d'événements dédiés à la lutte contre la pollution de l'air organisés avec Bloomberg Philanthropies, l'Institut Aspen et le magazine The Atlantic.

Plus de quarante Maires ont confirmé leur présence, dont ceux de Londres, Hong Kong, Dubaï ou encore Bogotá. Plusieurs dirigeants de grandes entreprises seront à leurs côtés. La Maire de Paris et Présidente du C40 a également convié Thomas Bach, Président du CIO.

Leur enjeu : réduire la pollution de l'air

Les membres du C40 sont confrontés à deux problématiques communes : un tiers des émissions de gaz à effet de serre sur leurs territoires est provoqué par les transports ; la circulation automobile est la première source de pollution de l'air.
Cette situation est devenue un enjeu majeur de santé publique, alors que des études récentes démontrent que la pollution de l'air provoque près de 4,5 millions de décès prématurés par an et le développement de maladies respiratoires telles que l'asthme, face auxquelles les enfants, les personnes âgées et les plus fragiles sont particulièrement vulnérables.
Des actions collectives seront dévoilées lundi 
Les Maires ont donc décidé d'engager de nouvelles actions collectives, notamment pour faire reculer la place de la voiture polluante et accélérer le développement des alternatives dans leurs villes. Ils annonceront ces engagements lors d'une conférence de presse qui se tiendra le lundi 23 octobre à Paris, de 11h15 à 12h15, à l'hôtel Intercontinental (9e). Elle comptera cinq intervenants : Anne Hidalgo, Présidente du C40 et Maire de Paris, Eric Garcetti, Maire de Los Angeles, Ada Colau, Maire de Barcelone, Mauricio Rodas, Maire de Quito, et Yuriko Koike, Gouverneure de Tokyo.
 






1.Posté par Régis Ravat le 24/10/2017 17:19
La Maire de Paris, Anne Hidalgo, qui est la présidente de l'Association internationale des maires francophones (AIMF), a reçu en anglais à Paris, 12 maires de villes étrangères. Elles les a reçus en anglais comme si cela était normal de parler anglais à Paris, berceau de la langue française et capitale de la Francophonie, comme si c’était normal d’ignorer notre langue, alors qu’elle fait partie des six langues internationales reconnues par l’ONU.
N'aurait-elle pas dû plutôt profiter de cette rencontre pour mettre en avant la langue française, partant du principe que défendre notre langue chez nous, ce sont toutes les langues du monde que nous défendons contre l’hégémonie d’une seule, l'anglo-américain, aujourd'hui ; l'anglo-américain qui est une langue hautement polluante puisqu'elle est en train de tuer la diversité linguistique et culturelle de toute l'humanité.
 Mais comment peut-on défendre le Climat, c’est-à-dire, le respect de la biodiversité et des écosystèmes, en anglo-américain, la langue de la première puissance polluante du monde, la langue de ceux qui n’ont même pas signé l’accord sur le Climat, la langue de ceux qui ont quitté l’UNESCO parce que promouvoir la diversité des cultures du monde ne les intéresse pas ?
En outre, Mme Hidalgo n’a eu rien à redire sur le slogan en anglais "Made For Sharing" du Comité de candidature de Paris-2024, d’ailleurs, elle s’est exprimée largement en anglais à Lausanne (ville francophone suisse) et à Lima (ville hispanophone du Pérou) pour défendre le dossier de Paris pour les JO de 2024, et cela, devant le Comité international olympique (CIO) dont pourtant le français est langue officielle (article 24 de la Charte olympique). Bref, Mme Hidalgo est à la France francophone (ce n'est plus un pléonasme, hélas, de dire cela), et plus largement, à la Francophonie, ce que le Roundup de Monsanto est à l'herbe libre : un poison.

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